Nous continuons à respirer un air dangereusement vicié, par exemple dans les transports

Mesure de la teneur en CO2 réalisée au niveau du couloir de circulation d’une voiture de seconde classe dans un train EUROSTAR entre Paris et Londres le 15/09/2022. On constate (courbe bleue) que la concentration est acceptable jusqu’au départ de Paris, qu’elle atteint 1500 ppm 20 minutes après la fermeture des portes, se maintient à des niveaux élevés mais acceptables durant 90 minutes puis atteint des valeurs anormalement élevées sur la fin du parcours. Pendant le voyage, les écrans défilant vantent les systèmes de conditionnement d’air qui « prélèvent de l’air extérieur et le distribuent aux températures souhaitées ».
Tout se passe comme si le QUATRIEME GESTE BARRIERE qui est à notre avis potentiellement le plus efficace et qui pourrait nous dispenser de tous les autres n’était pas correctement mis en œuvre, même pour ce qui concerne les locaux ou équipements dont les communicants affirment le contraire.